Taille d’Arbres et de Types d’Élagage

Les techniques utilisées pour les travaux d’élagage et taille d’arbres pendant l’accès sont variées et adaptées à chaque cas.

En installant préalablement un point d’ancrage provisoire, on peu faire l’accès dans un escalier de main jusqu’à un point dans lequel nous pouvons commencer a grimpé à la méthode anglaise.

Grâce à l’usage de nœuds prussik ou d’éléments mécaniques, selon le type de déplacement vertical, en installant préalablement un point d’ancrage provisoire, on peu commence l’ascension en ”foot lock”.

L’utilisation de bloqueurs mécaniques (ascendeurs-descendeurs) d’une incorporation récente technique dans le marché (TAZ LOV2) combiné avec de bloqueurs dans le pied droit et gauche, en cas d’accéder à haute altitude.

Inclus l’usage de une nacelle si l’état mécanique et (ou) sanitaire, il est de l’état douteux pour travailler sur l’arbre, surtout dans le cas de détecter la présence de champignons xylophages qui attaquent le système racinaire.

Dans tout cas, c’est toujours conseillable comme mesure de sécurité, l’installation d’une corde d’accès, qui sera uniquement utilisé pour accéder à l’arbre, comme rappel secondaire en cas d’une nécessité et pour en cas d’un accident, on peut accéder au poste par une corde fiable et indépendante au rappel de l’arboriste.

Nous accédons à tout point de l’arbre pour exécuter le travail à réaliser avec efficacité et une sécurité maximale. Les techniques arboricoles des employées s’adaptent aux exigences du client en respectant la biologie de chaque arbre en particulier, selon l’espèce arborescente qu’il s’agit, son état physiologique et anatomique.

 

poda en altura

Travaux de réduction de houppier dans un jeune exemplaire de chêne, grâce à la proximité d’une piscine.

Comme des professionnels d’élagage, nous ne pouvons pas oublier que l’arbre n’a pas besoin, en règle générale, de notre intervention. Eux mêmes finissent par éliminer ces branches dont ils n’ont pas besoin en minimisant les conséquences futures, à un niveau de cicatrisation et de développement dans une hauteur et une grosseur.

Un exemple commun qui a besoin de l’intervention de l’arboriste, est spécialement la génération de branches mortes dans l’enceinte urbaine, où une situation de risque est créée pour les passants, des véhicules,  mobilier, etc.

Dans des certains cas, dans lesquels les branches sont d’un grand calibre, une solution possible dans laquelle la coupure est évitée, c’est l’installation d’un système de sustentation artificielle grâce à des fils d’acier ou à des cordes.

À l’heure de choisir un arbre ou une espèce arborescente, la première recommandation consiste en ce qu’il est bien sûr qu’il pourra pleinement se développer à un niveau physiologique et que son anatomie quand il arrivera à un adulte, s’adaptera à l’espace choisi et à ses expectatives. Dans notre corporation, l’arboriculteur a l’habitude de dire que “quand se met la tronçonneuse, il est parce que dans de nombreux cas, avant une action erronée a été réalisée”, et l’élection correcte de l’arbre fait une partie intrinsèque de cette phrase.

Les espèces végétales, en plus d’avoir une couleur caractéristique dans chaque saison, un type de feuille ou de fruit, de longévité, etc., ont aussi une silhouette, une hauteur et un volume, génétiquement liés. Choisir correctement l’espèce arborescente dans le lieu qui désire qu’il se développe, en lui permettant à de grandir d’une forme libre, sera une réussite et économisera des frais futurs.

TAILLE DE FORMATION (ÉLAGAGE PRÉVENTIF OU D’ADÉQUATION À L’ENVIRONNEMENT)

Une fois il a pris la décision de qu’arbre planter, la taille de formation est celle que NaturClimb emploie pour diriger et/ ou pour adapter à l’arbre conformément à la forme que vous voulez obtenir, on peut dire que dans les premiers stades de la vie, le végétal est plus apte à le guider avec les coupures qui ne vont pas nuire à cela ou traumatiser tant comme s’ils sont réalisés quand il sera adulte, il est plus malléable.

On a l’habitude de réaliser la taille de formation comme minimum de 2 à 3 ans après la plantation et l’installation définitive dans le lieu élu. Avant il n’est pas recommandable par le stress souffert dans les opérations du déplacement depuis la serre et la plantation (une perte de branches et / ou des racines, des coupures, etc.).

Grâce à la grande importance qui a la taille de formation, NaturClimb, en faisant un usage de sources scientifiques, il s’étend considérablement dans cet alinéa d’habitude oublié.

NaturClimb lui conseille de prendre toutes les précautions nécessaires pour protéger aux jeunes arbres des blessures, puisque à long terme celles-ci peuvent avoir de graves conséquences dans la santé et la solidité de l’arbre adulte.

Des certains élagages, spécialement les réalisées dans une pépinière, peuvent provoquer les points de faiblesse mécanique qui convient de corriger grâce à d’autres élagages (des écorces incluses, une irrégularité de la conicité du tronc, etc.).

Des certaines espèces sont plus enclines qu’autres à l’écorce incluse, comme Tilia sp., Robinia  pseudoacacia, Fagus sylvatica, Populus sp., Salix sp., Sophora japonica, Celtis australis, etc.

D’autre part, comme il est impossible de supprimer tous les axes avec une écorce incluse dans le cas de ces espèces, NaturClimb lui conseille de supprimer seulement les structures potentiellement dangereuses.

Nous ne devons pas oublier, que moins agressives sont les élagages, meilleurs ce sera la réaction de l’arbre celles-ci. Par agressives nous pouvons comprendre celles-là qu’ils éliminent, en fonction de l’espèce, un diamètre de branche supérieure à 5-10 cm et un volume de feuilles supérieur à 20 % ou mis un tiers du houppier de l’arbre.

Par cela, réaliser des élagages de formation planifiés et adaptées dans le temps, ils influeront sur l’état futur et la vigueur de son patrimoine végétal. Les élagages proposés de formation, en suivant des critères scientifiques, s’adaptent à ces prémisses.

Les objectifs de la taille de formation peuvent être divers et variés:

  1. Allongement et rectitude du tronc:

La rectitude d’un tronc est une chose et son développement est autre.

Dans des certaines espèces, tous les axes sont plagiatrope, y compris le guide. C’est-à-dire la jeune tige que constituée d’une continuation de modules n’est pas droite. La rectitude ne consolide pas jusqu’à un passé de temps.

Comme un exemple nous pouvons trouver, dans de nombreux cas comme arbres ornementaux dans des alignements dans des environnements urbains: albizias, des tilleuls, robinias ou de faux acacias, des aubépines, gleditsias ou des acacias de trois épines, sophoras, des arbres de judas, des ormes, etc. L’élagage d’espèces avec axes plagiotropes ne doit pas être précipité : elles mêmes reabsorbent beaucoup de fourches avec le temps et couper une branche compétitive du tronc équivaut à supprimer souvent la poursuite naturelle du tronc, en produisant un effet contraire au désiré.

Au contraire, la taille de formation doit être le plus précoce possible dans le cas des arbres avec croissance monopodial (tous les axes sont formés, sauf un accident, par un méristème apical unique) et avec guide orthotrope, comme: érable, frêne, châtaignier d’indienne, cerisier sauvage, aulne, épicéa, sapin, pin, etc., puisque quelques branches favorables ou fourches peuvent atteindre dans ceux-ci irrémédiablement la rectitude du tronc.

Dans le platane et le châtaignier, les branches compétitives de la guide, tandis que le milieu est propice pour la croissance, ne sont pas un danger pour la rectitude du tronc.

Dans les espèces de genre Quercus, comme le chêne commun, le chêne blanc, le chêne rouge, le chêne pubescente, le chêne vert, le chêne rouvre, le chêne liège, etc., est seulement quand la fourche paraît qu’il persiste plus de deux ans quand il faut tailler.

On peut aider aux arbres de port pleureur (un mûrier blanc, un bouleau, un saule, etc.) à s’élever en sélectionnant régulièrement les branches les plus ascendantes et en supprimant celles qui se plient, mais encore une fois on pourrait poser nous la question de l’élection correcte de variété de l’espèce élue. Après avoir choisi un port pleureur, le plus logique serait de favoriser avec élagages des accompagnateurs et justifiées, sa silhouette naturelle.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour accompagner et assurer l’allongement et la rectitude du tronc sont:

  • Guide l’axe: un redressement grâce à une ligature des guides doublées.
  • Libération de la guide: la suppression des branches qui entrent dans une concurrence.
  • De fourche: une sélection d’un axe et une suppression d’autres tiges d’une fourche.
  • Une substitution de la guide dominée: une sélection d’une branche latérale et d’un redressement grâce à guide l’axe principal, une suppression de la guide dominée.
  • Une reconstitution de la guide grâce à une fixation sur l’anglet: un redressement sur anglet d’une branche latérale destinée à reconstituer un guide disparu ou inexistant.
  • Une suppression d’un jaune opposé
  • Une suppression des pousses porte-greffe sur le tronc ou le cou, et des rejetons de racine.
  • Pinzado, épointé ou une courbure vers le sol de l’extrémité des branches compétitives avec la guide pour diminuer sa croissance.
  • Il coupe à un ras de terre et à une sélection d’un tronc entre les nouvelles pousses dans le cas de ne pouvoir pas cela former le tronc autrement, par exemple ce que le tronc principal est abîmé par une fissure, un chancre, etc.

Especies monopodiales

Especies simpodiales

Especies mixtas

Pinos/ Pinus sp.

Abetos/ Abies sp.

Píceas/ Picea sp.

Ginkgo/ Ginkgo biloba

Cipreses/ Cupressus sp.

Araucarias/ Araucaria sp.

Tejo/ Taxus baccata

Secuoyas/ Sequoia sempervirens y Sequoiadendron giganteum

Fresnos/ Fraxinus sp.

Chopos/ Populus sp.

Cerezo/ Prunus avium

Haya/ Fagus sylvatica

Olmos/ Ulmus sp.

Plátano/ Platanus sp.

Tilo/ Tilia sp.

Acacia tres espinas/ Gleditsia triacanthos

Robinias/ Robinia pseudoacacia

Abedules/ Betula sp.

Sóforas/ Sophora japonica

Almez/ Celtis australis

Zelkova/ Zelkova sp.

Árbol de la seda/ Albizia julibrissins

Árbol de Judas/ Cercis siliquastrum

Castaño/ Castanea sativa

Magnolios/ Magnolia sp.

Tulipero de Virginia/ Liriodendron tulipifera

Castaño de indias/ Aesculus sp.

Nispero de Japon/ Eriobotrya japonica

Nogales/ Juglans sp.

Arces/ Acer sp.

Les espèces mixtes correspondent aux arbres desquels une partie est monopodiel, par exemple le tronc (le tronc du magnolia est monopodium orthotropa tandis que les branches sont simpodios plagiothropas dont les modules fleurissent de façon terminal) et le reste simpodial.

2. Régler la hauteur sous la couronne ou le houppier de l’arbre et de formes dérivées. Elévation de la couronne.

Avec ce deuxième cas, NaturClimb expose ces situations dans lesquelles une taille de formation d’une voûte désire un espace sous le houppier de son jardin, de terrasse ou la zone de passage ou la hauteur de gabarit, c’est-à-dire pour permettre la circulation d’automobiles et en même temps la libération d’une façade, comme exemple de forme dérivée.

Sauf des exceptions (des arbres greffés à tête, à arbres préforme pour un écran, etc.), se doivent plus planter que tu mâtes avec guide, puisque la hauteur désirée descend la couronne il est en général très supérieur à celle de la plante quand il est acheté ou vient de la pépinière.

Former l’arbre depuis sa jeunesse. Si la montée de couronne par suppression des basses branches est trop tardive, nous nous exposons au risque d’avoir à faire de grandes blessures ou coupures non désirées parce que à la capacité de cicatrisation de notre arbre.

Si l’élévation de la hauteur a lieu trop bientôt, des dommages sont causés à l’augmentation de section du tronc et à son allongement.

Elevación de la corona. 1. Poda progresiva de las ramas bajas sin sobrepasar el tercio de la alturadel árbol. 2-3. Formación del tronco deshorquillado, supresión de ramas competitivas. Fte.: E. Michau
Élévation de la couronne ou houppier de l’arbre. 1. Élagage progressif des basses branches sans dépasser le tiers de la hauteur de l’arbre. 2-3. Formation du tronc sans fourche, suppression de branches en concurrence. Sources: E. Michau

En règle générale, NaturClimb conseille anticiper la montée de couronne grâce à une suppression sélective des plus grosses branches dans le houppier temporel. Cette préparation de la montée proprement dite limite les risques d’apparition de pousses. Dans chaque pas, la partie du tronc taillé ne devrait pas dépasser en principe le tiers inférieur de l’arbre, en ne souffrant pas des deux tiers supérieurs plus qu’une suppression sélective des branches.

Dans le cas de résineuses, en nous référant principalement aux conifères, pour ne pas affecter défavorablement à la croissance, il doit préserver au moins trois étages de branches supérieures. L’observation de la vitesse de couverture des blessures et du développement des pousses après une montée de couronne permet de régler l’intensité et le rythme des opérations.

Un élagage propre, on peu la reconnaîtra pour les cicatrisations rapides des coupures et pour l’apparition limitée de pousses. NaturClimb le rappelle et conseille au cas où l’arbre n’a pas complètement fermé le bourle de cicatrisation, laisser au moins une pousse, puisque la circulation de la sève alors, il aidera précisément à fermer et sceller complètement la blessure soufferte par la coupure.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour régler la hauteur sous la couronne, les formes dérivées et(ou) l’élévation de la couronne sont:

  • élection de la hauteur sous la couronne. Définir un gabarit.
  • suppression sélective des branches déjà grosses dans le houppier temporel, en anticipant la montée de couronne.
  • suppression sélective des branches trop proches les unes aux autres dans le houppier temporel, en anticipant la montée de couronne.
  • suppression progressive des plus basses branches du houppier, en anticipant la montée de couronne sans dépasser le tiers de la hauteur totale de l’arbre.
  • suppression des branches compétitives: des pousses sur le tronc et les rejetons de racine.
  • suppression des pousses du portainjerto.
  • formation du tronc: défourchage et une suppression de branches compétitives.
  1. Préparer le bois d’une forme semi-libre. Formation dans timbale ou  verre

    Avec ce type d’élagage de formation, NaturClimb lui propose que quand le tronc a été arrivé à la hauteur élue, il sera de permettre que les arbres expriment son architecture naturelle. Ce type d’élagage de formation peut se compléter avec les critères et opérations cités dans les deux cas précédents.

     

Poda en vaso de una especie arbustiva.
Taille en verre d’une espèce arbustive.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour préparer le bois pour se mettre en formation dans une timbale et(ou) dans un rejeton sont:

  • suppression des branches qui forment un angle trop fermé avec le tronc, et des branches mal orientées ou ennuyeuses pour notre objectif fixé.
  • coupure au-dessus d’un jaune ou une branchette située dans la direction voulue pour guider une branche future principale.
  • suppression des branches trop proches les unes aux autres pour échelonner les branches futures principales.
  • suppression de la guide et une sélection de branches futures principales pour une formation dans timbale.
  • coupe à un ras de la terre dans hiver et à une sélection des troncs futurs pour une formation dans verre.

 

Formacion en cubilete
Formation en timbale. 1. Sélection des branches principales et une régulation de sa vigueur. Suppression de la guide. 2. Un étirage des branches principales. Suppression des pousses sur le tronc. 3. Sélection des branches secondaires. Sources: E. Michau.
  1. Préparer le bois d’une voûte. Une formation artificielle d’un arbre avec un port étendu et création d’une forme étendue.

Par une forme étendue, NaturClimb définit l’artificialisation du système aérien de l’arbre dans un plan ou le plus pareil à éliminer le propre volume du verre de l’arbre. S’il est horizontal c’est une voûte et s’il est vertical est une palissade ou un espalier.

Le montage d’une forme étendue est une action délicate et de beaucoup de travail, et c’est pourquoi, a l’habitude de sembler coûteuse.

Dans des certaines espèces, les branches du même arbre ou de différents pieds peuvent se souder entre soi (il est dénommé anastomosais), comme c’est le cas des platanes, de tilleuls, de hêtres, etc.

Les opérations principales culturelles que dans le temps NaturClimb réalise pour préparer un port plat sont :

 

  • Suppression précoce de la guide, sélection des branches principales et une régulation de sa vigueur en favorisant sa croissance sur un plan horizontal.
  • Suppression des pousses de la guide, étirage des branches principales en favorisant sa croissance horizontale et suppression ou réorientation des branches mal orientées.
  • Dès que le bois de construction et la structure de l’arbre est bien formé, les travaux qui seront réalisés seront la suppression de branches plus orientées et la sélection des branchettes latérales des branches principales. En résumé, un éclaircissage.

 

formacion de un arbol con un porte artificial extendido o aparasolado
Formation du houppier d’un arbre en tonnelle. 1. Suppression précoce de la guide dans A et une sélection des branches principales, régulation de sa vigueur en favorisant sa croissance sur un plan horizontal dans B. 2. Suppression des pousses de la guide dans A; un étirage des branches principales en favorisant sa croissance horizontale dans B et une suppression des branches mal orientées. 3. Suppression des branches mal orientées, sélection des branchettes latérales des branches principales. Sources : E. Michau

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour préparer le bois de d’une voûte sont :

  • Assurer l’allongement et la rectitude du tronc jusqu’à la hauteur désirée, après supprimer le guide.
  • Sélectionner les branches principales horizontales et les échelonner jusqu’à la hauteur désirée.
  • Supprimer les branches mal orientées et monter la couronne peu à peu jusqu’aux branches principales sélectionnées.
  • Orienter et étirer les branches principales en contrôlant l’orientation des tire-sèves.
  • Supprimer toutes les pousses et sucettes verticales ou mal orientées le long du tronc et des branches principales.

 

Formacion de una boveda sobre cabezas de gato
Formation d’une voûte sur des têtes de chat. Sources : B. Hespel.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour préparer le bois d’une palissade sont:

  • Les opérations d’élagage sont guidées par une structure composée de piquets liés par des fils ou des baguettes intermédiaires. Cette structure peut entièrement être métallurgie ou une compréhension tu pars d’un bois et de baguettes de tige. Il faut prêter une attention particulière aux risques de blessures qui peuvent se produire par les frottements des tuteurs et par la pression des ligatures.

NaturClimb n’est pas favorable à l’usage de pâte mastic dans des blessures. S’il a le cas d’un alignement, NaturClimb lui conseille un cadre de plantation pas supérieure à 4-6 mètres.

NaturClimb lui rappelle que bien que toutes les actions culturelles soient réalisées d’une forme bonne, les prix d’installation, de formation et surtout une maintenance annuelle ils seront très élevés. Le budget, et surtout sa durée, ce sont des limitations importantes pour ce type de formations.

  1. Formation d’un arbre étêté et d’autres formes dérivées

NaturClimb lui rappelle que nous ne devons pas confondre un arbre étêté avec un arbre mutilé par des coupures radicales. La formation d’un arbre étêté commence depuis la jeunesse de l’arbre. Les arbres étêtés et d’autres formes rurales apparaissent aujourd’hui de plus en plus dans le paysage ornemental dû à l’étendue des villes.

Sa gestion exige un respect des pratiques agricoles traditionnelles, c’est-à-dire comprendre parce que ce type d’actions culturelles étaient réalisés, spécialement pour se pourvoir d’un aliment pour le bétail dans la période estivale et un bois, et c’est pourquoi, conserver le périodicité des élagages de conservation une fois fixés.

Ils sont nombreux, les cas d’espèces arborescentes que nous nous habituons à reconnaître dans des environnements ruraux, comme par exemple, Fraxinus spp., Quercus spp., Salix spp., Morus spp., Tilia spp., etc.

 

formacion de cabeza de sauce por desmoche
Formation de tête de saule par étêtement. 1. Décapitation et élagage de branches. 2. Élagage des pousses toutes les deux ou trois années. 3. Formation d’une grande verrue, constituée de l’accumulation des anneaux de cicatrisation. Sources: D. Mansion.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pour former un arbre étêté sont:

  • Assurer l’allongement et la rectitude du tronc jusqu’à la hauteur désirée, après supprimer le guide (une décapitation) ainsi que toutes les branches.
  • Supprimer toutes les pousses le long du tronc, deux par trois ans après l’opération précédente; les nouvelles pousses formées sont supprimées à son tour après 2 par 3 ans. Elles se formeront, quelques verrues, constituées de l’accumulation des anneaux de cicatrisation.

Quand ils s’ont été écoulés plus de cinq ans après la suppression de la guide, l’arbre étêté se forme. Les pousses étaient normalement supprimées toutes les neuf années sur le champ, ce qui correspondait à la durée habituelle d’une location de la propriété. Actuellement, NaturClimb conseille réduire ce périodicité entre trois et six ans maximaux, pour conserver les plus grandes réserves possibles dans l’arbre et pour éviter des coupures trop grandes.

 

Desmochado de Salix alba. En la pared contigua se pueden ver las varas secandose para utilizarse en la construcción elementos vegetales.
Étêté de Salix alba. Dans le mur contigu les bâtons peuvent être vus en séchant pour des éléments végétaux étant utilisés dans la vannerie.

Les arbres d’escamonda se forment comme les étêtés, mais la guide n’est pas supprimée et elle se développe dans un petit verre, tandis que les branches latérales sont régulièrement coupées le long du tronc.

Un dernier objectif de la taille de formation serait de préparer le bois d’une pyramide et d’autres formes coniques d’artificielle manière. NaturClimb ne cherche à s’étendre beaucoup plus dans cet alinéa puisqu’il convient de se rappeler que dans la gamme d’espèces, de variétés et tu cultiveras de nos pépinières ils existent, la plupart d’année, les arbres dont la forme naturelle et volume correspondent aux objectifs cherchés.

TAILLE D’ENTRETIEN

Arrivés à ce point dans la vie de l’arbre c’est-à-dire elle ai passé, la phase de jeunesse où, pouvoir convenablement réaliser les tailles de formation, nous pouvons nous poser quelques questions. Les tailles de formation se sont-ils réalisés convenablement ? Quel type ou critère ont été adoptés ? Voulons-nous perpétuer dans le temps ce critère ? Ici il est où apparaîtrait la réponse à sa question, si désire conserver antérieurement le patron adoptif ou non et si cela a été correctement exécuté en obtenant le résultat désiré.

S’il désire le maintenir, NaturClimb posera un calendrier de comportements de taille d’entretien. S’il ne désire pas le maintenir, NaturClimb lui proposera d’autre type d’élagages : d’une adaptation, d’une transformation et d’une refonte, si l’état phytosanitaire de l’arbre le permet.

Le deuxième groupe de questions dériverait directement à partir de, il n’a été réalisé aucun type de taille de formation, c’est-à-dire la forme de l’arbre est complètement libre parce qu’il s’est exprimé sans aucun type d’intervention, comme il a l’habitude de passer dans les zones rurales ou forestières où exemplaires bien espacés se sont développés sans aucune intervention, excepté les imposées par la propre nature : vent, neige, grêle, sécheresse, foudre, etc.

Dans ces cas, NaturClimb réalise aussi des interventions en matière de taille d’entretien pour éliminer les branches mortes au risque de chute ou branches mortes tombées qui sont soutenues sur la structure de l’arbre.

Dans des certains cas d’exemplaires isolés, nous pouvons nous trouver qui sont traversés pour la foudre. L’effet de la foudre produit une grande fissure longitudinale le long du tronc, qui provoquera probablement dans cela creusé la compartimentation de l’arbre dans la zone endommagée, en existant un haut risque de chute de l’exemplaire.

Cèdre traversé longitudinalement pour la foudre.

 

Detalle de la fisura longitudinal provocada por el efecto del rayo.

NaturClimb  vous rappelez et vous conseillez, que les comportements qu’il réalise sur son patrimoine arborescent, réalisent le plus grand échelonnées possibles dans le temps et toujours de l’observation à la réaction celles-ci. Surtout, devant la coutume aujourd’hui d’obtenir des produits ou des services avec un clic simple de souris ou de front l’habituel que, il est malheureusement devenu, voir des structures d’arbres sains et vigoureux, hâves après une journée de travail des scies mécaniques puissantes et bien aiguisées.

Exigez l’arboriculteur qui lui explique quels comportements, comment et pourquoi il va les réaliser, et surtout, quelle répercussion future il aura sur son développement futur. NaturClimb  lui conseille de s’éloigner des solutions radicales; aujourd’hui les salons de coiffure sont spécialement fréquentés, les féminines, pour se sont soignés le cheveu et l’aspect physique; dans pratiquement tous les cas, l’arboriculteur devrait agir comme un coiffeur qui au lieu de soigner son cheveu, soigne le feuillage des arbres.

Il y a des certaines régions dans les pays européens où l’usage des scies mécaniques est interdit pour les travaux d’élagage et les arboristes peuvent uniquement travailler avec scies de main et ciseaux de tailler, de cette façon se limite la dimension de la coupure à réaliser et la contamination est réduite.

La taille d’entretien a pour but de maintenir la forme établie à l’issue de la taille de formation.

Selon la conduite de l’arbre, elle peut se résumer a l’enlèvement de quelques branches au sein du houppier (formes libres et semi-libres), elle peut consister a limiter modérément le volume du houppier (formes contenues), ou elle peut maintenir de façon répétée la forme et le volume du houppier (formes architecturées en tètes de chat ou tondues par exemple).

  1. Arbres conduits en forme évolutive

Les principales opérations d’entretien des arbres conduits en forme évolutive, objectifs et techniques de taille associées sont:

  • Elimination des drageons. Souvent, les drageons sont gênants car ils colonisent le milieu alentour tour (massifs, sols, minéralises, etc.). Les techniques de tailles sériant supprimer les drageons des leur apparition, a leur point d’insertion sur la racine, quand ils sont accessibles.
  • Elimination des suppléants. Les suppléants peuvent être gênants et doivent donc être enlèves (présence sur le collet ou le tronc en particulier). Les techniques de tailles sériant supprimer les gênants des leur apparition. Une taille raisonnée d’été ou d’automne limite l’apparition de suppléants. Les suppléants qui apparaissent en grand nombre âpres une taille non architecturée sont souvent la preuve d’une intervention excessive ou inadaptée.
  • Suppression de branches a risque. Elimination souvent nécessaire pour prévenir les accidents ou les maladies. Les techniques de taille sériant supprimée les branches mortes, les branches fissurées, toutes celles qui présentent des faiblesses mécaniques doivent être enlevées ou réduites. Les branches mal insérées (inclusion d’écorce en particulier) déjà trop grosses pour être enlevées peuvent être réduites afin de limiter les futurs risques d’arrachement. Dans certains cas, il est aussi possible de pose des haubans.
  • Recépage. Coupe de l’arbre au ras du sol, pour renouveler sa partie aérienne (arbre blesse ou de forme inadaptée a l’objectif ; mode de gestion de type forestier comme le taillis, etc.). Les techniques de tailles sériant supprimer le (ou les) tronc (s), est coupe au plus prés du sol (quelques centimètres). Des suppléants se formeront sur le collet et reconstitueront un nouveau houppier. Plusieurs troncs seront généralement conserves. Attention aux essences qui ne repercent pas de souche, et à celles qui sont greffées. Attention aussi aux arbres peu vigoureux, qui peuvent ne pas bien rejeter et pour lesquels il est déconseille d’appliquer cette technique.

 

Poda de mantenimiento
Taille d’entretien sur une forme semi-libre pendant la période hivernale – des chênes -. Luberon, France.

Selon des études scientifiques actuelles, ils existent des espèces, comme certains du genre Quercus, qui ont la nécessité de générer et de se développer avec une quantité de bois mort provenant des branches dans sa structure. À des travaux de taille d’entretien réalisés par NaturClimb dans une masse boisée de Quercus blanc dans Le Luberon (France), on a pu constater dans les années postérieures à ces travaux que les chênes ont continués de générer et de maintenir un niveau minimal de branches mortes sur le verre. Bien que quelques branches étaient mortes par l’effet des forts vents de mistral dominants, dans les autres c’était plutôt la structure de l’arbre qui les avait laissé mourir sans une apparente cause.

Travaux d’élagage d’assainissement et entretien dans le houppier du pin halepe. Élimination de branches mortes.

À l’heure de réaliser un éclaircissage dans le houppier, le travail qui peut être fait en hiver et dans l’été, NaturClimb lui conseille de continuer avec les mêmes critères déjà définis. Réalisez les travaux de forme échelonnée, tout élagage affaiblit temporairement les branches restantes, de la même façon qu’un très fort taille provoque la rupture d’arbres maigres brusquement isolés. L’élimination d’un volume important foliaire, gêne à l’augmentation des branches principales et sa solidification ralentit.

2. Formes a volume stable

Une tête de chat ou de saule, est une excroissance résultante d’élagages répétés dans le même endroit, ce qui provoque une série d’anneaux cicatrisants fusionnés entre soi. Toutes les formes structurées (artificielles) peuvent être incluses dans la méthode des têtes de chat.

NaturClimb vous rappelez que cette zone est un endroit privilégié pour les réserves de l’arbre à condition de ne pas changer le régularité d’élagage c’est-à-dire qui dès que NaturClimb sont établis lui conseille de continuer les travaux d’élagage pendant l’hiver avec un régularité maximal entre un et trois ans, en fonction de la vigueur de l’arbre et surtout, couper dans l’avenir les structures formées.

NaturClimb vous conseillez d’augmenter le nombre de têtes de chat depuis la formation de l’arbre pour diminuer le calibre de celles-ci et par conséquent le poids et le moment qu’il peut réaliser sur la fourche ou l’insertion, réduire la croissance des pousses et l’élagage des blessures, en limitant ainsi l’apparition de parasites entre les têtes. La distance minimale que NaturClimb lui conseille entre deux têtes de chat est de 40-50 cm, puisqu’en dessous de cette distance se rendront beaucoup de cas de mortalité.

 

conservacion sobre cabezas de gato
Conservation sur têtes de chat. (1). Une seule tête sur A1 ou un arbre étêté (2). Les têtes sur A1 et A2 (3). Les têtes même A3 (4). Les têtes même A4. Augmenter le nombre de têtes est de diminuer le calibre des têtes (moins de poids), la vigueur des pousses (la coupure plus facile), l’élagage des blessures (la cicatrisation plus rapide) et les pousses entre les têtes. Sources : B. Hespel.

Les principales opérations d’entretien des formes à volume stable, objectifs et techniques de taille associées sont:

  • Suppression de la pousse annuelle sur tête de chat. Elle permet de maitriser le volume et la silhouette d’une forme architecturée à charpente déterminée. Cette taille doit être annuelle. Les arbres traites en têtards (trognes, ragosses, brognes) font l’objet d’une gestion toute particulière qui n’entre pas dans ce cadre-la. Les techniques de tailles sériant couper tous les suppléants a leur base, sans entamer la tête de chat et sans laisser de chicot, pour que le recouvrement soit parfait. En aucun cas il ne faut entamer la tête elle-même, afin d’éviter les pourritures, ni laisser de chicots. Pour obtenir une tête de chat, couper chaque année au même point. Travailler au sécateur ou a la scie pour des suppléants de plus gros diamètres. Si possible, une taille annuelle est préférable car c’est la moins pénalisante pour l’arbre, mais elle peut se faire tous les 2 ou 3 ans. Sur des rotations longues, la taille aura des conséquences au niveau des réserves. Si la coupe concerne de gros diamètres, elle pourra provoquer de la pourriture. Aucune tête de chat ne doit être supprimée.
  • Suppression de la pousse annuelle par prolongement. Elle permet de maintenir une forme architecturée à charpente déterminée sans produire de tête de chat. Les techniques de tailles sériant retirer tous les suppléants et n’en conserver qu’un seul, bien place, qui est réduit ensuite sur un ou plusieurs yeux. C’est lui qui donnera le futur prolongement. Le volume du houppier augmente au fil des années. Il peut être maitrise en jouant sur la longueur des prolongements, leur orientation, leur nombre et la fréquence des tailles. Travailler au sécateur ou a la scie pour des rejets de plus gros diamètres. La taille doit si possible être annuelle. Si l’arbre est peu vigoureux, elle peut être faite tous les 2 ou 4 ans.
  • Suppression de la pousse annuelle par tonte. Elle permet de maintenir strictement une forme architecturée a volume et surface détermines sans produire de tête de chat. Les techniques de tailles sériant réduire toutes les pousses de l’année en ne laissant qu’une base très courte (1 a 3 cm). Travailler au lamier, au taille-haie, a la cisaille, au croissant.
  • Suppression de la pousse annuelle par prolongement. Elle permet de réduire le volume du houppier et revenir au gabarit de départ, dans le cas des arbres conduits en formes architecturées à charpente déterminée. Les techniques de tailles sériant légère réduction de toutes les faces d’une forme architecturée. Sur des arbres tailles sur prolongement, il est possible de sélectionner des suppléants situes en retrait et de couper la branche sitôt au-dessus, afin de faire le rééquilibrage. Sur des arbres tondus, le rééquilibrage se fait en coupant les branches en retrait des ramifications terminales. Il se pratique en hiver, avec une fréquence d’environ 4 ans maximum.

3. Arbres conduits en forme contenue

Les principales opérations d’entretien des arbres conduits en forme contenue, objectifs et techniques de taille associées sont:

  • Diminution de la longueur des branches pour adapter le volume aux contraintes. Quand le volume disponible n’est pas trop restreint par rapport au volume potentiel de l’arbre, son maintien peut être fait par des coupes sur relais potentiels qui conservent la forme générales et l’aspect assez naturel. Les techniques de tailles sériant couper les branches trop longues au niveau du relais potentiel. Pour conserver un aspect naturel à l’arbre et pour éviter de densifier la périphérie au détriment du centre du houppier, il faut varier les distances de coupe d’une branche à l’autre.

TAILLE D’ADAPTATION

La taille d’adaptation consiste à modifier ou ajuster une partie du volume d’un arbre tout en préservant sa silhouette et son fonctionnement habituel.

Elle s’adresse essentiellement a des arbres a volume évolutif conduits en forme contenue, situes dans des espaces ou ils peuvent déployer une bonne partie de leur houppier a l’âge adulte. A partir du moment où un arbre en forme semi-libre subit des tailles d’adaptations périodique, il devient de fait une forme contenue.

Ponctuellement, la taille d’adaptation peut s’appliquer a des arbres en forme architecturée dont le volume doit être localement ajusté du fait d’une nouvelle contrainte (si l’adaptation est généralisée sur tout le houppier, c’est un recalibrage).

La taille d’adaptation respecte la forme générale de l’arbre, elle ne débouche pas sur une modification de la conduite habituelle de l’arbre (sinon, c’est une taille de conversion).

NaturClimb réaffecte qui se doivent éviter les expositions brusques à la lumière et par conséquent à l’insolation directe, de ces branches qui s’étaient développées à l’ombre, en limitant les risques de brûlures de l’écorce, ce qui a dans de nombreux cas, un prix élevé, comme des fissures, des chancres, etc.

Les principales opérations d’adaptation des arbres conduits en forme contenue sont les suivantes:

  • Réduction de branches trop longues : pour adapter le volume de l’arbre a l’espace disponible, coupe des branches concernées au niveau d’un relais potentiel. Si la diminution de la branche entraine la disparation de plus de la moitié du feuillage, il est préférable de la supprimer entièrement.
  • Suppression de branches : lorsque l’adaptation concerne la hauteur sous couronne, si leur diamètre n’est pas trop important, couper les basses branches. Si les charpentières les plus basses sont assez redressées, il est aussi souvent possible de les conserver et de couper uniquement les branches gênantes qu’elles portent.
  • Sélection des suppléants : une sélection des suppléants apparus depuis l’intervention précédente est souvent nécessaire lorsque l’adaptation du volume est significative. Elle consiste à conserver en particulier ceux qui pourront servir ultérieurement de relais potentiels, et a éliminer ceux que sont gênants ou en surnombre.

La nature et le rythme des tailles d’adaptation sont déterminés en tenant compte des facteurs suivants :

  • Les attentes du client
  • La conduite de l’arbre (contenue, architecturée)
  • La vitesse de croissance de l’arbre
  • Les capacités de l’arbre a compartimenter
  • Les contraintes du site en matière de volume a respecter

Les tailles d’adaptation ne modifient pas notablement le fonctionnement habituel de l’arbre, elles ne doivent pas le perturber globalement. Sinon, elles ne relèvent plus de l’adaptation mais plutôt de la conversion.

TAILLE DE CONVERSION

La conversion d’un arbre d’un mode de conduite à un autre peut éventuellement s’envisager. Néanmoins, la plupart du temps, le changement de conduite et de gestion de l’arbre est pénalisant pour l’arbre (affaiblissement généralisé, déplacement des zones de stockage des réserves, fragilisation mécanique de certaines parties, etc.). Il doit donc être bien raisonné.

  1. Conversion d’une forme architecturée en une forme contenue

Si elle est opérée sur un jeune arbre, cette conversion est rapide et ne laisse pratiquement aucune trace à long terme. Si elle s’opère âpres plusieurs décennies de conduite architecturée, cette conversion est lente et laissera des traces définitives aux anciens points permanents de taille.

Cette conversion engendrera une augmentation consécutive du volume de l’arbre.

Cette conversion présente un caractère irréversible. Elle ne peut être envisagée qu’âpres un diagnostic général de l’arbre, afin de vérifier qu’elle ne présente pas de risques mécaniques a plus ou moins long terme, et que la future conduite en forme semi-libre sera bien compatible avec le volume disponible.

La conversion d’une forme architecturée en une forme semi-libre s’effectue en plusieurs phases selon la forme d’origine.

Les principales opérations d’entretien de taille de conversion d’une forme architecturée vers une forme semi-libre, objectifs et techniques de taille associées sont:

  • Simplification des extrémités de la charpente (facultative). Sur les formes en haie ou en rideau tondu. Les techniques de tailles sériant procédé semblable à une taille de recalibrage. Sur les formes en tètes de chat, la charpente n’est pas simplifiable et le raccourcissement en deçà de la tête de chat est à proscrire absolument (la charpente, de trop gros diamètre et vide de réserves, rejettera difficilement, sera infectée et deviendra creuse).
  • Développement libre des suppléants. Pendant une courte période, de 1 a 3 ans, selon leur vigueur. Ne pas attendre que les suppléants soient trop gros pour les éliminer (3 a 5 cm maximum).
  • Première taille. Consiste a (1) éliminer les suppléants faibles ou mal placés (2) sélectionner quelques-suppléants vigoureux obliques ou horizon taux (3) sélectionner quelques suppléants verticaux très vigoureux, dominants ou co-dominants (qui seront destinés a devenir les futures branches maitresses).
  • Deuxième taille. Si nécessaire selon la vigueur et la réaction du végétal. Un ou deux ans après la première taille. Les techniques de tailles permet de sélectionner les axes dominants et commencer leur éclaircissage afin d’assurer un espace vital suffisant a leur développement dans de bonnes conditions de croissance. Sur les formes en tete de chat, ne laisse a terme que 1 à 3 axes dominants par tete, en évitant les insertions trop proches qui pourraient a terme former de l’inclusion d’écorce.

Par la suite, plusieurs tailles successives d’éclaircissage seront sans doute encore nécessaires ou aboutir a la forme définitive et équilibrée de la nouvelle couronne.

  1. Conversion d’une forme libre, semi-libre ou contenue en une forme architecturée

Cette conversion risque d’entrainer de graves dommages pour l’arbre déjà bien développé.

Elle est possible pour les jeunes plantations et pour certaines essences ayant une bonne capacité d’adaptation (bonne aptitude à former des suppléants, bonne compartimentation), avec des coupes inférieures a 7 cm de diamètre sans transformations importantes de la charpente. Dans les autres cas, si la taille doit être trop sévère, l’intervention doit être annulée ou bien l’abattage doit être préconisé. Un entretien régulier est nécessaire.

Un risque existe de dégarnissement progressif de la base au profit d’un excès de vigueur en hauteur, en particulier pour des arbres conduits ensuite en rideau tondu.

Les tailles de conversion ne sont faites que si les conditions suivantes sont respectées :

  • L’arbre est en capacité de le supporter et cela ne générera pas de problèmes mécaniques ou phytosanitaires à terme
  • Le client est bien conscient des contraintes que cela engendrera (en particulier, tailles d’entretien régulières et impératif de maintenir définitivement ces formes architecturées).

Les principales opérations pour des futures conduites en rideau tondu : diminution des branches conservées, par des coupes sur des relais potentiels situés dans le volume recherché. Les tailles d’entretien futures permettront d’obtenir à petit le garnissage complet du rideau.

Pour des futures conduites en tête de chat ou en prolongements : sélection des branches les mieux placées pour assurer la structure pérenne. Les futures têtes de chat ou les prolongements sont progressivement créés sur ces branches en fonction de la forme et du volume choisis. L’entretien est ensuite classique pour ces formes (beaucoup de suppléants mal placés apparaissent en réaction les premières années).

RESTRUCTURER LES FORMES ABANDONNÉES

L’abandon des tailles d’entretien, il s’agit d’une forme semi-libre ou l’une structurée, il a ses répercussions :

  • Une croissance libre de pousses dans un autre temps supprimé ou réduits régulièrement
  • Une migration de réserves d’amidon depuis les têtes de chat vers la base des pousses dans le cas d’une forme structurée
  • Une transformation de l’hiérarchie entre les axes, l’apparition de structures dominées, déchues et mortes.

En l’espace du temps, les formes abandonnées s’éloignent ainsi de plus en plus de sa forme initiale (une taille de formation et une taille d’entretien). La possibilité de restaurer les formes abandonnées dans de nouvelles formes comparables avec les objectifs et les limitations d’un endroit dépend de l’état sanitaire, physiologique et mécanique des arbres.

desarrollo de un antiguo aprovechamiento en cabeza de sauce en un roble
Développement aérien d’une exploitation ancienne en trône dans des chênes. Saignon, France.

TAILLE DE RESTRUCTURATION

La taille de restructuration tend à redonner progressivement a un arbre mutile ou accidente une forme structurée compatible avec les modalités de taille d’entretien courant.

Si une restructuration acceptable n’est pas possible (état sanitaire ou mécanique défaillant, trop grande violence de l’intervention, etc.), il faut soit laisser l’arbre dans son état, soit l’abattre.

De même, un arbre sain et en bon état mécanique ne doit pas subir une taille de restructuration destinée à réduire fortement son volume. Un remplacement par une autre essence plus adaptée à l’espace disponible est une bien meilleure solution.

Une telle taille ne peut être entreprise qu’après un diagnostic fin, certains arbres ne pouvant être restructurés, du fait de dégâts trop importants ou de lueur état général.

Les actions de taille consistent à redonner progressivement une forme compatible avec les modalités de tailles d’entretien classiques, tout en assurant la sécurité des usagers et des biens.

Les principales opérations de taille de restructuration sont les suivantes :

  • Sélection des branches ou suppléants se développant sur des parties saines de l’arbre
  • Suppression des branches mortes et dépérissantes, des drageons gênants, des chicots (sauf si leur recouvrement est en cours) et suppléants sur le tronc
  • Reprise des branches cassées et des anciennes coupes.

En retirant le bois mort ou dégradé, il faut faire attention a ne pas casser les barrières de compartimentation naturelles de l’arbre mises en place contre l’entrée des pathogènes.

Il convient de ne pas drainer les cavités pleines d’eau car la stagnation d’eau permanente est défavorable au développement des champignons.

Les arbres sains ne doivent pas subir de tailles de restructuration.

Sauf intérêt écologique ou historique avéré, la restructuration de vieux arbres dépérissants devenus dangereux est à proscrire. Il est préférable soit d’établir un périmètre de sécurité, soit de les abattre.

NaturClimb profite pour citer les conclusions intéressantes recueillies par Drénou en 1995 : “La baisse de houppier n’est pas une phase de développement, c’est un milieu de la défense comme de la réaction un stress, et cette capacité diminue avec le cours de temps.

La descente de cime a été associée beaucoup de temps au vieillissement, parce qu’il est rare qu’un arbre devienne très vieux sans avoir réagi un jour à une perturbation du milieu en exprimant dite descendue de cime.

Cependant, cette étude de cas montre, au contraire, que quand il fait disparaître la faculté de faire une descente de cime il est quand commence la sénescence et la mort de l’arbre devient inévitable.”

Atrincheramiento o descenso de copa como reaccion a una situacion de estres
Descente de cime. Réaction a une situation de stress. Saignon, France.

La photographie appartient au même exemplaire depuis différents angles. On peut apprécier comme cet exemplaire il développe quelques tire-sèves qui ne donnent pas lieu au doute de ce qu’ils substitueront l’actuelle structure dans une situation de descente de cime, c’est un clair exemple des conclusions de Drénou.

Dans la photographie de la gauche on peut observer un processus de perte d’écorce et une désagrégation de l’axe principal de l’arbre. Cet exemplaire, placé dans un bosquet de chênes (Quercus alba), n’est pas le cas unique que cet état de vigueur présente dans une décadence. Après que consultent avec des paysans, les chênes qui sont datés entre 150-200 ans d’âge, ils souffrent de cette situation de stress devant le manque d’eau accompagnée d’hivers beaucoup plus doux, les maximes des températures minimales ont augmenté et les périodes de froids intenses se sont aussi trouvées réduites.

Après avoir réalisé cette photo, où dans la deuxième fourche quelques grandes protubérances peuvent être appréciées, NaturClimb a grimpé à l’arbre pour éliminer les structures complètement sèches et avec le haut risque de tomber sur un chemin qui s’écoule sous son houppier. On peut apprécier les coupures anciennes réalisées de grande dimension; encore une fois NaturClimb il lui rappelle que ce type de comportements conduisent à l’arbre à son affaiblissement et favorisent l’entrée d’agents pathogènes et les parasites pour l’arbre.

atrincheramiento y renovacion
Descente de cime et un renouvellement d’exemplaires adultes de chêne. Le Luberon, France.

RESTRUCTURER LES FORMES MUTILÉES

La possibilité de restructurer les formes mutilées dépend de l’état sanitaire, physiologique et mécanique des arbres. Ces élagages ne peuvent être réalisés plus qu’après un diagnostic final. En vue de l’importance des pertes qu’ils ont éprouvées, ou qu’ils devront éprouver, des certains arbres ne peuvent pas être restructurés et on conseille les abattre.

On ne peut pas restructurer un arbre mutilé comme s’il s’agissait d’une maison détruite. L’action d’élagage peut seulement recommencer à donner peu à peu une nouvelle forme compatible avec les modalités de taille de entretien, en garantissant toujours sa sécurité et celle des utilisateurs et des biens. Dans de nombreuses situations, les formes mutilées continueront, même après les travaux de refonte.

Après le traumatisme, existe en premier lieu une phase de réaction (une production anarchique de pousses et un parasites), et par la suite une étape de substitution (une organisation dans la population de pousses et de parasites). La durée de ces deux étapes dépend de l’importance du traumatisme et de l’état de vieillissement de l’arbre.

NaturClimb conseille que, en cas de prendre la décision de réaliser des élagages de restructuration, il a clairement passé la première phase, pour ne plus affaiblir à l’arbre.

Les opérations principales culturelles que NaturClimb réalise pendant les travaux d’élagage de restructuration sont :

  • Une sélection des branches, des pousses et des parasites qui se développent sur des parties saines. Son élection est effectuée en fonction de la forme qui désire recommencer à se rendre à l’arbre.
  • Une suppression des branches mortes et déchues, des rejetons de racine, de souches, de parasites sur le tronc et la base des branches principales.
  • Une récupération des branches brisées et des coupures anciennes.
  • Un étirage des branches principales dans la direction désirée. Une attention spéciale sera prêtée à l’élection des tire-seves et au caractère épitone ou hypotone de l’espèce arborescente dont il s’agit.
  • Une élimination en bois pourri ne doit pas être réalisée si avec elle des parasites cassent des barrières naturelles de l’arbre contre l’entrée d’agents. C’est-à-dire il faut lui laisser un temps à l’arbre pour qu’il exécute ses barrières naturelles de protection, excepté dans le cas que le risque de chute est évident.
  • Les cavités pleines d’eau ne doivent pas être drainées ne se couvrir avec des objets étrangers à la biologie de l’arbre. L’étanchement d’eau empêche le développement de champignons et l’entrée d’autres agents. L’une des raisons principales pour que la micelle établie au bois développe le carpophore ou le corps fructifère (un champignon), est précisément de pour éliminer à travers des verres conducteurs de cela, l’eau accumulée dans le bois, en favorisant les conditions d’échange gazeux avec l’extérieur.
Roble senescente
Un chêne sénescente.

Non toutes les espèces ont les mêmes moyens de défense en cas du fort traumatisme. Les possibilités de refonte sont, par conséquent, différentes selon l’espèce affectée. L’aptitude pour la formation de pousses peut être nulle (une grande quantité de conifères), peu abondante (un hêtre, un bouleau, etc.) ou grande (des platanes, des saules, des chênes, etc.).

Des certaines espèces en bois mou (faut marronnier, peuplier, tilleul, frêne, etc.) ont une forte propension envers la désagrégation interne. Dans les autres (chêne, châtaignier, olivier, amandier, ficus, etc.), le bois est dur et la désagrégation se développe plus lentement.

TAILLE DE PREVENTION DES RISQUES

La taille de prévention des risques consiste a supprimer sur l’arbre les parties mécaniquement affaiblies, susceptibles de se rompre. Ainsi, l’arbre peut être porteur de bois mort de fortes dimensions (cas des arbres dépérissants) ou de défauts mécaniques importants.

Exceptionnellement, cette taille peut être appliquée de façon préventive, notamment sur des arbres ´récemment esseulés ou sur des sujets soumis a des contraintes éoliennes nouvelles et particulièrement fortes.

Si la taille doit être trop sévère, il est préférable de procéder à un abattage. Une autre solution intéressante consiste à mettre en place un périmètre de sécurité destiné à empêcher la présence de personnes dans la zone de chute éventuelle.

Contrairement à la taille d’entretien, dont l’objectif est plus général, la taille de prévention des risques vise avant tout à limiter les risques de rupture de parties de l’arbre. Elle ne doit pas être appliquée de façon préventive sur des arbres sains et sans défauts mécaniques avérés.

La taille de prévention des risques doit être précédée d’un diagnostic phytosanitaire et de dangerosité.

Sur les arbres avec présence de cavités, un inventaire faunistique peut être nécessaire pour éviter de détruire des espèces animales importantes qui y sériant installées.

Les principales opérations de taille que Naturclimb vous propose consistent en :

  • Un retrait des gros bois morts
  • Un retrait des branches déchirées, cassées ou mal insérées (fourches à inclusion d’écorce en particulier).

Parfois, un simple allégement par réduction sur un véritable relais potentiel d’un axe fragilisé peut suffire à assurer  un bon niveau de sécurité.

Si cela n’a pas d’incidence sur le niveau de sécurité, les reprises de branches cassées ne doivent pas briser les protections naturellement mises en place par l’arbre (en cas de blessure, l’arbre met en place une compartimentation, qui consiste à isoler la partie blessée ou contaminée a l’aide de barrières chimiques et physiques).

Les suppléants présents doivent être préservés chaque fois que possible ; ils sont importants pour le fonctionnement de l’arbre dépérissant ou sénescent.

Dans certains cas, la mise en place d’un haubanage peut éviter de réduire des branches importantes.

NaturClimb vous conseille que la taille de prévention des risques ne doit pas être pratiquée de façon préventive sur des arbres sains et en bon état mécanique. Elle risquerait de provoquer au contraire de futurs points de faiblesse.

Un diagnostic complet de l’arbre doit être entrepris avant intervention.

Les interventions doivent être raisonnées en fonction de chaque cas particulier pour ne pas accélérer le déclin des arbres déjà en difficulté.

La taille de prévention des risques mise en œuvre ne doit pas générer de futurs problèmes mécaniques.

ZOOM SUR LES ARBRES SENESCENTS OU VIEILLISSANTS

NaturClimb fait une autre petite incise, en profitant d’avoir ce petit coin, pour citer le cas d’arbres sénescentes ou vieillis.

Le cas des arbres sénescents (arbres arrivés au quatrième stade de leur vie, après avoir été jeunes, adultes puis matures) est particulier.

Ces arbres, qui ont une croissance faible (rameaux courts, peu de ramifications, pas ou peu de recouvrement des plaies, etc.), ne peuvent pas produire de suppléants vigoureux capables de remplacer des parties coupées.

Tout retrait de parties vivantes est très pénalisant et diminue leur espérance de vie. Dans la mesure du possible du point de vue de la sécurité, il faut également éviter de supprimer le bois mort, qui est un grand support de biodiversité et qui produit en se dégradant des matières organiques enrichissant les cavités internes de l’arbre. La fin de vie des arbres sénescents peu s’étaler sur des décennies, voire des sicles, s’ils ne subissent pas de perturbations violentes.

almendro senescente. Se puede apreciar una parte florecida del tortuoso árbol y otra parte compuesta que por ramas muertas de diferente calibre.
Un amandier (Prunus dulcis) sénescente. On peut apprécier une partie fleurie de l’arbre tortueux et d’autre partie composée que par des branches mortes de différent calibre.

Les arbres présentant une descente de cime avec mortalité de la partie supérieure du houppier et une production importante de suppléants sur le tronc et la base des branches charpentières ne sont pas sénescents.

Ces arbres ont généralement subi un stress important (de type sécheresse, éclairement brutal, etc.) et ils sont en train de le surmonter en refaisant un deuxième houppier sous celui qui a dépéri. Leur dépérissement est donc temporaire et réversible.

Le retrait du bois mort est possible pour des raisons de sécurité. Par contre, il faut éviter de supprimer les suppléants qui assurent la photosynthèse et reconstituent le futur houppier. Seuls ceux qui sont gênants (sur la base du tronc) peuvent être enlevés. Des interventions périodiques d’accompagnement son préférables a des interventions brutales éloignées dans le temps.

Les arbres dépérissants présentent une mortalité ou une tres faible croissance en partie haute du houppier, des suppléants en retrait présents mais plus ou moins nombreux et peu dynamiques. Il n’est pas toujours facile de savoir s’ils vont mourir à court terme (dépérissement irréversible) ou s’ils vont surmonter cet état (dépérissement réversible). Les interventions sur ces arbres doivent être les plus légères possibles, pour ne pas les affaiblir davantage et les entrainer vers la mort.

Seules les suppressions de gros bois morts ou de grosses branches fragilisées est possible sans préjudice pour l’arbre.

 

Almendro que ha llegado a su fin.

Un amandier (Prunus dulcis) qui est arrivé à la fin de son cycle vital.

Aujourd’hui, existe une vaste communauté d’hommes de science et d’enquêteurs de l’enceinte traitée (T. Green, G. Passolas, etc.) qui croient que les arbres utilisent les champignons pour se vider, pour être plus flexibles aux coups de mer du vent et pour recycler tout le bois antique emprisonné dans son propre tronc pour sa re-consommation.

C’est une vision du champignon comme occupant de tissus dans une régression, plus que comme le parasite, qui sans doute, s’étend entre la communauté d’arboriculteurs et des arboristes. NaturClimb en accord avec ce courant, est également d’accord que le papier réel des champignons des arbres est encore à se révéler, dans la quatrième révolution industrielle, où la nanotechnologie et la robotique occupent pratiquement toute l’attention de la société et les marchés.

Aucun être humain n’est capable de prédire le temps de vie restante d’un arbre sénescente, cela peuvent être des lustres, des décennies ou des siècles, selon l’espèce, s’il ne souffre pas des perturbations violentes.

TAILLE SANITAIRE

La taille sanitaire vise à éliminer les parties malades afin d’éviter l’extension des dégâts au sein de l’arbre et limiter la propagation du parasite ou du ravageur. C’est une mesure prophylactique importante.

La taille sanitaire doit être motivée par un diagnostic phytosanitaire précis, indiquant le parasite ou le ravageur en cause, la gravité de l’affection et les risques pour l’arbre.

Les modalités de mise en œuvre et le période d’intervention doivent impérativement tenir compte du cycle de développement de l’agent mis en cause.

Les principales opérations de la taille sanitaire consiste à  retirer les parties affectées (branches porteuses de chancres, nids de larves défoliatrices, axes colonisés par des insectes xylophages, etc.). Les rémanents infectés sont à gérer.

Il est important de veiller à ne pas déstructurer l’arbre par l’ablation de parties importantes (défléchage d’un jeune sujet par exemple).

Certains problèmes parasitaires sont classés « parasites de quarantaine« et font l’objet d’une lutte obligatoire (chancre coloré, etc.). Cette réglementation pouvant varier en fonction des régions, il est important de se tenir informé des différents arrêtés qui on été pris.

Attention : La maladie de la suie chez les érables peut provoques des pathologies chez l’homme, en plus du dépérissement de l’arbre. Une protection respiratoire est nécessaire et le bois doit être brule.

Si nécessaire pour éviter les contaminations d’autres arbres, la désinfection des outils est réalisée avant de continuer ou de quitter le chantier. Dans certains cas, cette désinfection doit être faite entre chaque arbre.

TAILLE D’ÉCLAIRCISSAGE

La taille d’éclaircissage consiste à sélectionner les branches au sein du houppier. L’objectif peut être d’éliminer des branches apparues en trop grand nombre suite à des tailles inappropriées, ou d’obtenir plus de transparence (proximité de façades, souhait d’avoir plus de lumière pour les sous-étages de végétation, etc.).

Mal effectuée ou appliquée trop fortement a des essences très réactives, la taille d’éclaircissage peut provoquer l’apparition de nombreux suppléants qui densifient fortement le houppier de l’arbre, donnant donc un résultat inverse de celui qui était recherché. Elle peut aussi augmenter les risques de rupture, les branches ayant acquis une plus grande amplitude de mouvement.

Sur des arbres qui ne peuvent pas former de suppléants (la plupart des conifères et certains feuillus), un fort éclaircissage provoque un affaiblissement qui peut être extrêmement pénalisant et dommageable.

Il est préférable d’opérer en plusieurs fois, espacées de quelques années pour étudier les réactions de l’arbre plutôt que d’intervenir brutalement et de provoquer de nombreux suppléants ou un dépérissement.

Les principales opérations de la taille d’éclaircissage sont élimination des branches dominées et en cours d’affaiblissement ou de mortalité, ainsi que celles qui sont mal insérées a leur base.

Les basses branches dominées peuvent éventuellement être enlevées si elles participent au manque de lumière.

L’éclaircissage doit être suffisamment léger pour ne pas être contre-productif (apparition de nombreux suppléants). Il ne doit pas non plus affaiblir significativement l’arbre. Si l’intervention menée impose de refaire régulièrement des tailles pour maintenir l’effet attendu, le client doit en être averti et il doit avoir donné son accord.

TAILLES EXCEPTIONNELS

Les élagages sévères qui ont pour objet réduire le volume du houppier des arbres, ce qui peut seulement se justifier à des fins sanitaires ou pour prévenir le risque de chute de grandes branches. Par conséquent, fréquemment on utilise les termes d’élagages de sécurité ou  sanitaires pour réaliser ce type d’élagages, pour existe un certain risque sur des logements, des lignes électriques, carrossables ou d’autres infrastructures.

Trois types d’élagages exceptionnels se distinguent :

  • Taille de réduction drastique, qui consiste à baisser les branches à peu près dans un tiers de sa longitude. Selon la méthode anglaise, il cherchera de se faire toujours avec tire-sèves.
  • Etêté, qui correspond à une opération encore plus radicale, puisque les branches sont sectionnées à la hauteur du tronc. Il s’agit normalement, de l’opération préalable à l’abattage et à la démolition d’un arbre. Cette taille va à débalancé complètement l’équilibre de l’arbre.
  • Décapité qui correspond à l’élimination du sommet de l’arbre. Cette taille va aussi à débalancé complètement l’équilibre de l’arbre.

Il convient de rappeler, que selon les actuels critères de bonnes pratiques arboricoles, il n’est pas probablement éliminé d’une seule fois, plus de 10 % du volume total du houppier de l’arbre, bien que nous pourrions arriver presque à 15-20 % sans arriver à causer sur l’arbre un grand déséquilibre et c’est pourquoi répercuter sur sa vigueur et son état sanitaire.

Tout cela dépendra de l’espèce, la niche écologique où il se trouve et son adaptation. Aussi l’état du système radiculaire.

C’est-à-dire non toutes les espèces répondent égal à l’élagage, en comprenant qu’il sera réalisé dans la période adéquate de l’année, tous les arbres sont égaux acclimatés au même lieu en fonction de son écologie et au type de sol.

NaturClimb applique ce type d’élagages dans des arbres feuillus, dans des cas réellement exceptionnels parce que dans une grande quantité de cas il y a d’autre type de solutions. Bien que l’arbre soit récupéré passés quelques années, on condamne normalement son affaiblissement et la décrépitude, où les nouvelles pousses atteindront dans peu de temps pratiquement la même dimension ou la hauteur qui avant l’élagage, avec l’inconvénient qu’ils seront mécaniquement très peu fiables et par conséquent, aura généré une situation de risque.

D’une manière répandue on peut dire que tous ces processus qui génèrent un bois débilité ou dans une régression ils impliquent générer des occasions pour la colonisation de champignons spécifiques en fonction des tissus dans une détérioration générer ou exposés.

Ces processus qui génèrent un bois débilité peuvent être très évidents : des élagages ou tailles drastiques, l’élimination de racines ligneuses; ou très peu visibles comme les processus d’anoxie produits par excès d’eau ou de condensation.

Quelques champignons qu’ils considèrent spécialement agressifs, pour les hôtes sensibles, requièrent un niveau d’occasion « très en bas », cependant, d’autres plus de saprotrophiques requièrent « des portes ou des occasions » plus grands.

Les élagages drastiques supposent l’élimination de toute la masse photosynthétique d’un arbre. Sa perte est équilibrée par l’arbre en éliminant pratiquement, d’une manière totale, l’albure  associée. C’est par la nouvelle croissance que l’albure va augmenter (en partant du cambium), dans la même proportion que la croissance de la masse photosynthétique (vitalité).

Cependant tout le bois qui était actif avant la lésion (un élagage) s’est transformé, maintenant, un bois déconnecté, inactif et mort, et c’est pourquoi colonisable par les champignons spécifique de l’espèce. Dans ces cas l’arbre n’a pas de temps de fabriquer un « duramen » réel ou progressif mais il s’agit simplement d’un bois abandonné et beaucoup plus digestible : le duramen forcé. Ce duramen forcé ou bois abandonné est colonisable par beaucoup de types de champignons, plus qu’ils accèdent d’une manière habituelle au duramen progressif ou au duramen forcé (pour lesquels il y a un certain spécifique).

 

Ejemplo de poda drástica.
Exemple d’élagage drastique. L’Ariege. France

Bien que dans l’exemple précédent, l’arbre a réussi à émettre quelques pousses des jaunes dormants, l’effet obtenu par l’élaguer a été la sentence à une mort de l’exemplaire. Parfois, il est difficile aux arboristes de distinguer entre l’ignorance et le manque de sensibilité, bien que, dans de nombreux cas ils s’ajoutent.

TAILLE DE RUPTURE

Les arbres sont plus adaptés ou habitués à casser et à se déchirer qu’à être coupé par des outils. La déchirure et la rupture sont profondément associées à la vie « normale » des arbres.

Les arbres ont besoin d’éliminer les structures qui n’usent pas déjà (des branches mortes / sèches ou détériorées) et il constitue cela, presque la manière unique qui a l’arbre d’éliminer de grandes branches, comme par exemple, dans les ruptures de branches dans les processus de descente de cime.

De plus, aussi ils peuvent utiliser ce processus pour faciliter la survie devant des coups de mer naturels (une rupture de branches vertes). Pour ces situations, la déchirure ou la rupture c’est une bonne solution.

Par cela, nous pourrions dire que les arbres sont préparés pour souffrir d’eux et il est logique, puisque c’est la manière naturelle de se casser.

TAILLE EN VERT OU TAILLE D’ÉTE

Se considère comme taille en vert, cet élagage doux (inférieur à 1/3 du verre), effectué avec le feuillage pleinement développé et réalisé pendant la période estivale.

Taille en vert, à de grands avantages au sujet de l’élagage hibernal (pour ces cas qui n’impliquent pas de réductions drastiques).

La majorité des types d’élagage, la meilleure époque de réalisation est pendant la station végétative. Ils se devraient limiter à l’époque hibernale ces élagages qui impliquent une élimination très importante de feuille (zones productives de l’arbre).

TAILLE D’HAIE

Il s’agit d’une taille d’entretien d’une forme guidée ou structurée, dans laquelle se forment les structures géométriques délimitées qui exigent une maintenance régulière très importante.

TAILLE D’ARBRES FRUITIERS

Avec expérience dans de diverses espèces d’arbres fruitiers, comme le figuier, le pommier, le poirier, l’amandier, le cerisier, etc., NaturClimb offre ce service dirigé principalement à des éléments exemplaires qu’ils requièrent de quelques soins et d’élagage respectueux.

Poda de árboles frutales
Taille d’arbres fruitiers. Un amandier (Prunus dulcis). Apt, France.

OÙ COUPER QUAND IL SERA COMPLÈTEMENT NÉCESSAIRE ?

Il serait intéressant de rappeler que peu d’élagages sont réalisés dans le propre bienfait de l’arbre ou que l’arbre a besoin de notre intervention. Les élagages sont réalisés pour répondre à quelques nécessités d’entretien. Entre arboriculteurs on a l’habitude de dire que quand il est nécessaire d’arracher la scie mécanique ou tronçonneuse il est parce que quelque chose s’est déjà fait le mal c’est-à-dire une espèce inadéquate, une situation mal élue, etc., nous rappelons que les élagages de formation peuvent être réalisés par une scie de main et nous les appliquerons à des branches de petit calibre (moins de 5 centimètres de diamètre).

Cependant, dans un contexte où l’élagage est complètement justifié, il sera recommandé :

  • Éliminer les structures vieillies avant que les axes vigoureux et les pousses, puisque ce sont les derniers efforts que l’arbre a réalisés pour renouveler sa structure.
  • Dans la haute partie du houppier, privilégier un élagage je joute au-dessus d’un point d’accumulation de réserves (une fourche), dans la base des unités organisées, ce qui favorisera une réaction juste dans la zone de la blessure et évitera la formation d’une souche (accompagné d’une désagrégation éventuelle).
  • Tailler préférablement des branches et des branchettes de petit diamètre avant qu’éliminer de grandes branches.
  • Avant d’éliminer une branche, la réduire et d’attendre que le tronc augmente dans un diamètre.
  • Privilégier un élagage en partie inférieure du houppier de l’arbre avant que dans la partie supérieure.

LA DÉSINFECTION DES OUTILS DE COUPURE. POURQUOI DÉSINFECTER, QUAND ET QUEL PRODUIT UTILISER

Les outils utilisés sont adaptés au type de taille effectue et au matériau à couper (nature, diamètre).

Ils sont normalisés et possèdent les éléments de sécurité requis et obligataires. Ils sont maintenus en bon état de fonctionnement.

Les outils de coupe sont désinfectés entre chaque chantier et chaque fois que nécessaire (en particulier âpres intervention sur des arbres malades).

Les griffes ne sont jamais utilisées pour des tailles sur des arbres vivants. Elles sont réservées exclusivement aux abattages par démontage.

Il convient de s’assurer du bon état de fonctionnement du matériel de coupe avant utilisation et mise en route.

S’assurer que le matériel utilisé est conforme aux exigences légales en vigueur en matière de sécurité et d’environnement (normes CE).

S’assurer que le personnel est formé aux conditions de sécurité a respecter lors de la manipulation de tronçonneuses et autres outils de coupe, et qu’il porte bien les Equipements de Protection Individuelle (EPI) adaptés, en bon état, normalisés et a jour de leurs contrôles.

Les produits les plus couramment employés pour désinfecter les outils de coupure en particulier sont :

  • L’alcool à 60 degrés
  • L’éthanol à 70 degrés
  • L’eau de Javel diluée à 0.5 % chlore actif. Pour cinq litres d’eau froide ajouter un litre d’eau de Javel à 2.6 % ou une tasse à 9.6 %.

Il est convenable de permettre que le produit reste quelques minutes (trempage) dans la chaîne de la scie mécanique ou chez le lama de la scie pour garantir son efficacité. Il est également recommandable de pulvériser le produit dans la protège guide.

Une réglementation ou une demande particulière du cahier des charges peut nécessiter le recours a un produit spécifique.

Si la désinfection des outils se fait avec un produit phytosanitaire homologué pour l’usage Nº11016301    « traitements en généraux, traitements des locaux et matériels de culture bactéricides », d’usage Nº11016201    « traitements en généraux, traitements des locaux et matériels de culture fongicides », ou l’usage culturel Nº11016401    « traitements en généraux, traitements des locaux et matériels de culture virucide », le personnel doit être habilité, et le cas échéant, l’entreprise, conformément a la réglementation.

La liste de produits phytosanitaires et ses usages peuvent être consultés dans

http://e-phy.agriculture.gouv.fr